Articles
"Nature morte aux oiseaux exotiques, au centre : un hibou, autour divers oiseaux", Alexandre Isidore Leroy de Barbe (1777 - 1828).
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
skip to main |
skip to sidebar
Retia Mirabilia
Contributeurs
Membres
Catégories
- aesthetica (9)
- anatomies (2)
- animaux (15)
- berceuses (2)
- botanique (3)
- choses lues (17)
- choses vues (10)
- curiosités (14)
- figures (3)
- food (2)
- illustration (8)
- natures mortes (5)
- objets sonores (17)
- objets trouvés (8)
- paysages (7)
- polyphonie (7)
- territorialités (13)
- tourisme universitaire (3)
- wunderkammern (18)
World Blogroll
Archives du blog
-
▼
2008
(38)
-
▼
novembre
(17)
- Early 20th Century illustraters of Alice's Adventu...
- Sir John Tenniel
- Alice Liddell
- "La beauté des formes : entre création et répétition"
- L'Esprit des animaux
- Netz
- Pour une Wunderkammer sous les flammes.
- Encore Alexandre-Isidore Leroy de Barbe...
- Le cabinet d'histoire naturelle du Marquis de Livry
- Scipion Dupleix
- Fables de La Fontaine - Suite
- Levrette et Belette à Rochefort
- La Chauve-souris et les deux Belettes
- Belette (Mustela nivalis)
- Palafox
- “J'ai épousé un communiste”
- Alexandre Isidore Leroy de Barbe
-
▼
novembre
(17)
Bibliographie indicative
- DESCARTES René, Discours de la méthode (6e partie), Oeuvres et Lettres, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade.
- GEORGEL Chantal, La jeunesse des musées, Paris, 1994.
- IMPEY Oliver, MACGREGOR Arthur, The Origins of Museums : The Cabinet of Curiosities in Sixteenth and Seventeenth Century Europe, Oxford, Clarendon Press, 1985.
- POMIAN Krzysztof, Collectionneurs, amateurs, curieux : Paris-Venise, XVIe-XVIIIe siècles, Paris, Gallimard, 1987.
- VON SCHLOSSER Julius, Die Kunst- und Wunderkammern der Spätrenaissance, 1908.
Das Wundernetz
Das Wundernetz - Mot allemand construit sur le modèle de Wunderkammer, signifiant littéralement « chambre des merveilles », dont l'usage se voit répandu par l’étude de Julius von Schlosser (Die Kunst- und Wunderkammern der Spätrenaissance, publié en 1908). Suite à cet ouvrage, le mot désigne plus particulièrement les collections rassemblées à partir des années 1560-70 par les princes d’Europe centrale (la maison des Habsbourg principalement). Toutes sortes de merveilles stupéfiantes s’y trouvent regroupées, qu’elles soient tirées de la nature (naturalia) ou des beaux-arts (artificialia) . Les princes y collectionnent des objets destinés à mettre en valeur le spectacle de leur puissance : prodiges, tableaux de famille, monstres, somptueux trésors d’orfèvrerie, jouets mécaniques, splendeurs régaliennes, curiosités végétales ou minérales et autres somptuosités figurent dans ces « chambres » réservées au regard de quelques privilégiés. Elles préfigurent le musée au sens où elles reposent, dans leur principe même, sur la volonté d’éblouir le visiteur par le spectacle de pièces remarquables mettant en valeur une sorte de fierté humaniste.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire